Selon une discussion approfondie dans le magazine Computer publié par l’IEEE Computer
Society (https://www.computer.org/csdl/magazine/co/2023/10/10255223/1QzypCsRrgs), la relation entre l’IA et ses humains- comme leurs homologues, les différences existent sur un continuum.
Les premières IA ont développé une expertise dans un seul domaine, comme les échecs et le Go. L’intelligence artificielle avancée d’aujourd’hui peut comprendre le langage,
traduire le langage en images et analyser les images pour détecter des signes de cancer, entre autres choses.
Bien que ces réalisations soient impressionnantes,
ils ne pensent pas et ne raisonnent pas comme les humains.
Alors, jusqu’où les chatbots sont-ils parvenus à atteindre l’AGI ?
À première vue, un chatbot comme ChatGPT est sur le point de réussir le test de Turing et d’être classé comme AGI.
Ils peuvent rédiger en toute confiance des articles raisonnablement bons sur une variété de catégories de sujets.
Même si les chatbots peuvent même réussir des examens de licence professionnelle dans des domaines comme le droit,
ils échouent également au niveau de base : les chatbots se trompent souvent dans les questions mathématiques.
Ils se trompent sur les attributs cités, ne comprennent pas toujours les causes et les effets et obtiennent de mauvaises réponses aux questions de raisonnement.
Sukanya Mandal, membre de l’IEEE, a déclaré : « La prochaine étape vers la réalisation de l’AGI pourrait impliquer le développement de systèmes d’intelligence artificielle capables de démontrer des capacités de raisonnement,
de résolution de problèmes et d’apprentissage plus avancées dans un large éventail de domaines.
Cela peut inclure le transfert de connaissances d’un environnement à un autre.
capacités, la capacité d’apprendre à partir de données ou d’exemples limités et la capacité de faire preuve de créativité et d’adaptabilité dans de nouvelles situations.